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Circuits de découvertes
Ville de Rivière-du-Loup Circuits de découvertes
À pied, en auto ou à vélo. Seul, en famille ou entre amis. En coup de vent ou en étirant le temps. À l’ancienne ou en mode futuriste. Il y a plusieurs façons de découvrir Rivière-du-Loup. Facilitez-vous la vie en vous inspirant de l’un de nos circuits.
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Sur la piste des Jeux du Québec
Distance: 3 km
Durée: 1,5 heure
Thématiques: sport et histoire
Départ: devant le Stade de la Cité des Jeunes (75, rue Frontenac)
Format: bande audio (en français seulement) et contenu web à télécharger à chaque stationDu 14 au 22 août 1971, Rivière-du-Loup accueillait la toute première Finale des Jeux du Québec. Un événement historique, qui a laissé son empreinte dans la mémoire collective, mais aussi un peu partout dans la ville!
Le circuit balado Sur la piste des Jeux!, mis en place par le Comité organisateur de la 56e Finale des Jeux du Québec – Rivière-du-Loup 2022 en partenariat avec la Ville de Rivière-du-Loup, vise à faire connaître l’histoire des premiers Jeux, à rappeler l’importance que l’événement a eu pour la communauté et à revisiter ses legs et ses lieux emblématiques à travers 5 stations principales et une station bonus.
Les citoyens et les touristes sont invités à parcourir le circuit et à scanner, avec leur cellulaire, le code QR qui se trouve sur le panneau installé à chaque station. Ils seront ainsi orientés vers une plateforme numérique pour écouter une narration truffée d’informations méconnues et d’anecdotes. Des contenus complémentaires, regroupant des photos et des vidéos de l’époque, permettent d’enrichir l’expérience et d’en apprendre davantage sur chaque site.
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Publiqu'Art
Distance: 2 km
Durée: 1 heure
Thématiques: art et culture
Départ: parc du Campus-et-de-la-Cité
Format: mode autonome, avec les textes ci-dessous1. Œuvre centrale du parc du Campus-et-de-la-Cité, 2011
L’allée centrale du parc met en scène le paysage distinctif de Rivière-du-Loup en réinterprétant dans un large parterre la géomorphologie distincte et les peuplements végétaux propres à la région. La ville est érigée sur une série de plateaux qui s'élèvent à partir du fleuve Saint-Laurent jusqu'à une altitude de près de 200 mètres. Cette topographie en escalier explique la présence de plusieurs chutes spectaculaires sur la rivière du Loup, et est mise en relief dans la silhouette accidentée des murs d’ardoise qui bordent le parterre central.
Au sud de l’allée centrale du parc, un premier espace représente le fleuve et son littoral. Des jets de brumes, des rochers et des galets de schiste ainsi que des plantations d’herbacées de rivages composent ce premier écosystème.
Pour faire suite à ce milieu riverain, un espace est dédié à la ville. Une placette urbaine animée par le passage des piétons est aménagée au centre de l’allée. Trois variétés d’astrantia, l’emblème floral de la ville de Rivière-du-Loup, s’y déploient en plein cœur.
La placette fait ensuite place à une imposante cascade, représentant toute la splendeur de la chute de la rivière du Loup dans le paysage régional. Des végétaux indigènes aimant les milieux humides dominent la plantation dans cette partie du parterre.
Faisant suite au paysage de la chute, la tourbière s’installe dans l’allée, telle qu’on peut la retrouver à son état naturel.
Dans l’entièreté du parc, on compte plus d’une soixantaine d’espèces de végétaux qui sont pour la plupart indigènes et pour les autres, introduits depuis longtemps dans la région. Réunie en un lieu, toute cette diversité fait vivre à petite échelle les paysages remarquables de Rivière-du-Loup en passant par son fleuve, sa ville, sa rivière, ses tourbières et ses forêts.
2. Fleur d’Assise, 2010
Artiste : Ludovic Boney
Dans le cadre du programme d’intégration d’une œuvre d’art au parc du Campus-et-de-la-Cité
Cette œuvre représente à la fois l’importance historique du réseau ferroviaire pour la ville et les multiples perspectives de développement de Rivière-du-Loup. Telle une suite de wagons, ce polyptique sculptural se déploie le long du chemin rappelant le mouvement d’un train sur ses rails. Les plis sur les montants de métal rappellent les facettes rocheuses des affleurements et des cascades le long des chutes situées au cœur de la ville.
Chacun des 5 éléments de la sculpture est orné de formes pouvant être apparentées à des fleurs ou des étoiles qui, la nuit venue, sont illuminées. Les différentes couleurs qui cernent les percées font écho à la diversité de la flore du Bas-Saint-Laurent. À la saison froide, elles surplombent et illuminent les neiges blanches de l’hiver. Les étoiles symbolisent la complexité du temps. Elles représentent à la fois le passé et le futur et apportent une touche ludique à l’ensemble de l’oeuvre.
3. Oiseau sur colonne, 1975
Artiste : Marcel Braitstein
Collection du Musée du Bas-Saint-Laurent
Né en 1935 en Belgique, Marcel Braitstein émigre au Canada en 1951. Ses œuvres sculpturales se retrouvent aujourd’hui un peu partout à travers le monde. Figure marquante de la scène culturelle québécoise contemporaine, il s’est illustré aussi bien en tant qu’artiste, enseignant et écrivain.
Ce qui touche et concerne la condition humaine préoccupe Braitstein au plus haut point. Oiseau sur colonne est la première de la série des « colonnes brisées », thématique reprise dans plusieurs œuvres de Braitstein. Ses sculptures de métal soudé, qui constituent la partie la plus connue de la production de Braitstein, projettent une image expressionniste où la terreur est souvent exprimée.
L’œuvre Oiseau sur colonne représente un oiseau perché sur une colonne brisée, qui déploie ses ailes comme s’il était sur le point de s’envoler et son large bec s’ouvre sur sa proie. La colonne brisée évoque l’oiseau de malheur qui plane sur un monde détruit après quelque cataclysme. Ce sentiment d’apocalypse transpire de cette œuvre comme elle apparaît dans plusieurs autres œuvres de cet artiste.
4. L’Habitacle et Protection de l’Habitacle, 1995-1996
Artiste : Dominique Valade
Collection du Musée du Bas-Saint-Laurent
Née à Montréal en 1958, Dominique Valade possède un doctorat en études et pratiques des arts de l’Université du Québec à Montréal. Professeure en arts visuels au Cégep du Vieux-Montréal, elle demeure, au-delà de sa carrière d’enseignante, très active sur la scène culturelle québécoise et internationale. Entre autres, elle a réalisé des œuvres publiques au Québec, au Canada et en Europe.
À travers une réflexion sur les éléments paysagers ou urbains, l’artiste explore l’espace sous toutes ses formes. La série des Habitacles est représentative de son intérêt pour l’architecture. L’habitacle évoque le chantier d’une maison. Intégrés dans l’ensemble, divers outils tel le banc de scie, le niveau et l’équerre, nous suggèrent le milieu de la construction. En faisant référence à la technique de la camera obscura – procédé hérité de la Renaissance –, elle précise l’importance qu’elle accorde au dessin en perspective. De manière complémentaire, dans Projection de l’habitacle, seconde partie de l’installation, on retrouve au sol l’évocation d’un intérieur de maison et, au loin, une porte entrouverte sur un jardin.
5. Sans titre, 1990 et Grid with Superstrings, 1983
Artiste: Bill Vazan
Collection du Musée du Bas-Saint-Laurent
Bill Vazan est né à Toronto en 1933. Il étudie au Danforth Technical School de Toronto, puis à l'Ontario College of Art, avant de poursuivre sa formation à l'École des beaux-arts de Paris. Devenu professeur à l'Université Concordia, il s'établit à Montréal qui deviendra son port d'attache permanent. Vazan connaît, à partir des années soixante-dix, une carrière internationale - Amérique du Nord et du Sud, Europe, Asie - dans l'univers du « Land Art », représentant avec brio le Canada dans de nombreux événements, expositions et symposiums.
À l'origine, oeuvres formellement proches des dolmens préhistoriques ou des stèles runiques vikings, les pierres gravées de Vazan - que l'on retrouve, un peu partout à travers le Québec et le Canada - sont paradoxalement devenues de véritables signatures visuelles du travail de l'artiste lui-même. De ce fait, elles questionnent notre rapport aux vestiges des civilisations passées et à l'anonymat qui les caractérise.
6. Le Visionnaire, 2013
Artiste : François Maltais
Commande de la MRC pour illustrer l’énoncé de vision 2011-2031
Haute de 18 pieds, composée d’acier, d’aluminium, de cuivre et d’acier inoxydable, l’œuvre intrigue et amène les passants à découvrir les valeurs de la vision, inscrites à la base de la sculpture. L’artiste François Maltais a développé un concept qui tente davantage d’inspirer le spectateur à voir vaste et à concevoir un pôle captant les visions communes de la population plutôt que d’offrir une simple vision personnelle du développement.
L’objectif premier du Visionnaire n’est pas de traduire une vision de l’avenir, mais bien d’incarner l’ambitieuse volonté de prendre position pour l’avenir; c’est d’être un repère cristallisant, une prise de conscience collective qui voit grand, qui « visionne » loin, les pieds dans le présent. Le Visionnaire est un objet sculptural. Il est le résultat d’un processus de création impliquant une participation de la communauté.
Rappelons que l’énoncé de vision 2011-2031 de la MRC de Rivière-du-Loup est le résultat d’un important travail du comité de la vision, entamé en 2010. C’est par le biais de nombreuses consultations auprès de la population et des organismes du milieu que le texte de la vision a pris forme. À la base de l’œuvre, on retrouve les 5 valeurs qui résument cette vision collective : la qualité de vie, la famille, le dynamisme, l’innovation et l’ouverture d’esprit.
7. Se tenir debout et rayonner, 2021
Artistes : Denis Beauséjour, Youri Blanchet et François Maltais
Se tenir debout et rayonner fait référence aux origines du Cégep de Rivière-du-Loup et au rôle déterminant qu’il joue, depuis sa création en 1969, au sein de la région comme acteur essentiel du développement socioéconomique et culturel. Rappelons que le Cégep a pris naissance grâce à une mobilisation de la population qui s’est littéralement « tenue debout » à l’époque et qui a fait preuve d’une volonté réelle d’obtenir un établissement d’enseignement supérieur à Rivière-du-Loup, ville qui ne possédait aucun collège classique. Cette implantation a depuis permis à plus de 15 000 personnes d’obtenir un diplôme d'études supérieures.
L’œuvre exploite la verticalité, le mouvement et l’évocation langagière des matériaux et des couleurs. L’aspect vertical fait référence à l’élévation intellectuelle, culturelle et philosophique intrinsèque à l’éducation. Il contribue également à donner de l’ampleur à la sculpture, créant ainsi un signal, un appel pour le passant, d’où la métaphore de la bouée. Composée de grandes voiles bleutées, la pièce est inspirée de trois axes principaux : la relation avec le fleuve, l’éducation et la collégialité. Un aménagement paysager complète la métaphore maritime en traçant une grande vague donnant l’illusion de porter la structure et conférant ainsi un mouvement marin sur lequel la sculpture semble voguer.
8. L’Émérillon, 1986
Artiste: Charles Daudelin
Collection du Musée du Bas-Saint-Laurent
Charles Daudelin, né à Granby, vit à partir de 1939 à Montréal. Artiste polyvalent, prix Paul-Émile Borduas 1985, il expose peintures et sculptures, enseigne l’art intégré, collabore avec les architectes pour se consacrer, de plus en plus, à la sculpture monumentale et à l’art public.
Le poète québécois Gilles Hénault écrivait à Charles Daudelin en 1974, « tes sculptures sont des œuvres de plein air, sous leur double aspect, formes et proportions, ce qui fait que la plupart de tes maquettes sont déjà des monuments ».
L’Émérillon, né des pliages des années 1980, comme Embâcle (1984) à Paris et Éclatement II (1998) à Québec, de par sa géométrie, rejoint les préoccupations de Daudelin pour la dualité; un couple : deux voiles, un mât qui les unit ou les sépare et la lumière qui joue sur les vides et les pleins.
9. Jeux de clés, 2021
Artistes : Cooke-Sasseville
Dans le cadre du programme d’intégration d’une œuvre d’art pour le Stade de la Cité des jeunes
L’œuvre représente une série de clefs.
Cet outil est au centre d’un nombre important d’expressions populaires. Ainsi, la clé du problème ou la clé du mystère illustre l’existence d’une vérité cachée, d’une solution à un problème. La clé permet de comprendre et d’interpréter. En architecture, la clé de voûte est la pièce centrale d’une arche. La clé des champs illustre le pouvoir de liberté alors que la clé des songes permet d’interpréter les messages du subconscient.
La clé représente l’ouverture ; elle permet d’ouvrir ce qui est fermé. Elle ouvre le passage et donne accès à ce qui est caché. Elle permet d’accéder à une richesse, à une nouvelle connaissance, à un aspect supplémentaire de soi-même.
L’expression clés en main sous-entend que chacun dispose des outils nécessaires à son propre épanouissement. Ces multiples interprétations possibles sont en harmonie avec les activités et les valeurs d’engagement et de dépassement de soi propres à un établissement comme le Stade de la Cité des jeunes.
Le panneton, section de la clé servant à barrer ou débarrer une serrure, de chacune des clés présente le profil d’un visage humain. Ces visages anonymes symbolisent diverses facettes des rapports humains. Ces profils évoquent l’importance du rôle de chaque individu à l’intérieur d’un modèle organisé et souligne l’importance de la contribution et de l’implication de chacun dans le fonctionnement de l’ensemble. Sans panneton, toutes les clés seraient identiques, c’est ce détail qui donne le caractère unique à chacune d’entre elles.
10. Vocalises d’une baleine à cordes, 2010
Artiste : Émilie Rondeau
Dans le cadre du programme d'intégration d'une oeuvre d'art pour l'École de musique Alain-Caron
La forme hybride fusionne la silhouette du rorqual et la guitare basse d’Alain Caron. Adossée à la salle multifonctionnelle, elle devient le ventre de la baleine, la caisse de résonance, le corps de la guitare ; un incubateur et amplificateur à talents.
Originaire de Saint-Hyacinthe, Émilie Rondeau vit et travaille à Rivière-Ouelle, au Bas-Saint-Laurent. Elle détient un baccalauréat de l’Université Concordia (2004) et une maîtrise en arts visuels du Nova Scotia College of Art and Design (2006). Elle est boursière du CALQ et a reçu, en 2016, le Prix de la créatrice de l’année au Bas-Saint-Laurent. Depuis 2011, elle a réalisé une vingtaine de projets d’intégration des arts à l’architecture (1%) dans la Capitale-Nationale et l’Est-du-Québec.
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Projet Fraserville
Distance: 3,5 km
Durée: 2 heures
Thématiques: histoire et patrimoine
Départ: un départ à l'hôtel de ville (65, rue de l'Hôtel-de-Ville), un au Manoir Fraser (32, rue Fraser)
Format: circuit à faire avec un dépliant numérique (ci-dessous) ou un dépliant papier (disponible au bureau de Tourisme Rivière-du-Loup et à l’hôtel de ville)Le Vieux Rivière-du-Loup est l’un des quartiers patrimoniaux les plus riches dans l’Est-du-Québec. Ce sont les seigneurs Fraser qui en ont planifié le développement, dès 1825. On peut en apprendre plus sur ce projet urbain ambitieux à travers deux parcours.
La promenade pittoresque, qui débute à l’hôtel de ville, révèle les secrets de la vie bourgeoise du XIXe siècle, grâce à ses édifices publics impressionnants et ses somptueuses villas.
Prenant son départ au Manoir Fraser, le parcours citadin fait quant à lui revivre la naissance du village de Fraserville et le développement du centre-ville. La diversité de l’architecture, qui témoigne de la prospérité de la ville à différentes époques, y est notamment mise en valeur.
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Vies de quartier
Distance: 3 km
Durée: 1,5 heure
Thématiques: histoire et patrimoine
Départ: devant l'église Saint-Patrice (rue Lafontaine, à côté du parc Blais)
Format: extraits sonores et vidéos à télécharger sur les panneaux des cinq stationsCe circuit de cinq stations vous fera découvrir l’histoire de la ville à travers celle de ses vieilles maisons et des gens qui y ont vécu au fil des siècles.
À chaque station, vous trouverez soit le balado, qui vous guidera sur le parcours, ou des capsules sonores sur les gens qui ont habité le centre-ville et des vidéos sur l'histoire de notre ville et de ses bâtisseurs.
Des seigneurs Fraser, originaires d'Écosse, aux cheminots irlandais, en passant par les marchands d'origine grecque ou russe jusqu'aux commerçants et hôteliers de la région ou de Montréal, tous ont un point en commun: ils veulent avoir pignon sur la rue Lafontaine!
Apportez vos écouteurs et votre téléphone intelligent et suivez le circuit des panneaux du parc Blais à la gare. Téléchargez les extraits sonores et les vidéos à partir des pastilles (codes QR) installées sur les panneaux des stations ou à partir des liens qui sont fournis.
Entre les stations, ne manquez pas d'écouter les compositions originales de nos musiciens d'ici !
Pour voir la carte des cinq stations.
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Histoires de la Pointe
Distance: boucle de 4 km
Durée: 2 heures
Thématiques: histoire et tourisme
Départ: parc de la Pointe, secteur de la Côte-des-Bains (près du chalet)
Format: panneaux d'interprétation et contenu audio et vidéo à télécharger.À partir du secteur de la Côte-des-Bains, téléchargez les capsules sonores, les balados et les vidéos sur l'histoire de la Pointe.
Le circuit est composé de sept stations d'interprétation sur l'histoire de la Pointe, de la villégiature aux légendes de la rivière du Loup. Vous y trouverez des expériences numériques à télécharger, une maquette de l'embouchure de la rivière et des panneaux d'interprétation.
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Sacrés artisans
Découvrez les grandes familles d’artisans qui ont créé nos églises et laissez leurs murs vous raconter leurs secrets, avec des extraits sonores et vidéos!
Le circuit touristique Sacrés artisans vise à mettre en valeur le riche patrimoine religieux de la région du KRTB en sortant de l’anonymat les habiles artisans qui se cachent derrière ces monuments grandioses. Accompagné par le Conseil du patrimoine religieux du Québec, porteur du projet, les MRC de Kamouraska, du Témiscouata, de Rivière-du-Loup et des Basques ainsi que la Ville de Rivière-du-Loup s'unissent pour révéler les dessous de la construction de neuf de leurs plus belles églises.
Après des décennies à toucher le ciel, ces temples fascinent toujours autant par le savoir-faire des gens qui les ont érigés, pierre par pierre, et par la minutie et la maestria de ceux qui les ont décorés. Sacrés artisans met donc à l’avant-plan les architectes, sculpteurs et peintres qui ont participé à la construction de ces églises ou à l’élaboration de leurs décors intérieurs.
Le parcours est gratuit et accessible toute l’année.
En vous rendant à chacune des églises ci-dessous et en balayant le code QR sur le panneau du circuit, vous pourrez accéder à des textes, des photos et du contenu audio.
Liste des églises du circuit
- Église Saint-Patrice, Rivière-du-Loup
- Église Saint-Bartholomew, Rivière-du-Loup
- Église de Notre-Dame-du-Portage
- Église de Saint-André
- Église de La Décollation-de-Saint-Jean-Baptiste (L'Isle-Verte)
- Église Notre-Dame-des-Neiges (Trois-Pistoles)
- Église de Saint-Simon
- Église de Saint-Pascal-de-Kamouraska
- Chapelle au Pied-du-Lac (Rivière-Bleue)
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Autres circuits
Circuit Arbre, qui es-tu?
Découvrez notre patrimoine forestier urbain en parcourant les rues du Vieux Rivière-du-Loup et imprégnez-vous d'extraits littéraires rédigés par des auteurs québécois.
Ce circuit propose de conjuguer botanique et littérature et vous fait découvrir une douzaine des plus beaux spécimens du quartier ancien, du manoir Fraser à l'hôtel de ville en passant par le parc Blais et l'église Saint-Patrice. Ce parcours est une initiative citoyenne développée en lien avec le projet de Politique de l'arbre récemment présenté par la Ville de Rivière-du-Loup.
Le dépliant du circuit est disponible en version imprimée à la bibliothèque Françoise-Bédard ou à téléchargeable ci-dessous.
Suivez la carte et découvrez les arbres remarquables identifiés par un médaillon à l'effigie du circuit. Une randonnée de 2 heures de marche à pied ou à vélo vous attend.
Pour information : 862-4252
Les sentiers du Platin
Véritable centre d’interprétation naturel en milieu urbain, le parc des Chutes permet non seulement de se détendre en plein air, mais aussi d’aiguiser ses connaissances en histoire, en géologie et en botanique.
Grâce à un carnet touristique et artistique, on peut s’adonner à une promenade éducative qui met tous les sens aux aguets. À travers les huit sentiers du parc, on découvre alors, d’un œil nouveau, ses différents écosystèmes : son verger patrimonial, sa rivière, sa forêt, ses ruisseaux, son étang et ses falaises.
Le guide Les sentiers du Platin est en vente au coût de 5 $ au Musée du Bas-Saint-Laurent, dans les librairies locales et au bureau d’information touristique.
Le rocher Malin
Plusieurs légendes entourent le rocher Malin, une crête rocheuse caractéristique par sa forme anguleuse.
Depuis plus de 50 ans, un personnage peint sur la roche fixe le large. Il n'a raté aucun coucher de soleil depuis sa création.
Cette oeuvre d'art populaire peinte pour la première fois en 1963 rappelle, selon l'artiste, la présence des Premières Nations dans l’histoire de la Pointe.
Il y a cinquante ans, l'oeuvre a été nommée La Tête d'indien. Aujourd'hui, l'utilisation de ce terme est révolue.
La présence des Premières Nations à la Pointe est bien connue dans l'histoire de Rivière-du-Loup et on sait que l'embouchure de la rivière du Loup et la Pointe ont été fréquentées, entre autres, par des Micmacs, des Malécites et des Hurons.
Rendez-vous au parc de la Pointe, stationnez près du chalet de la Côte-des-Bains et faites le tour de la Pointe.
Profitez de votre passage sur la rue Mackay, qui longe le fleuve, pour jeter un œil curieux sur les belles villas de ce secteur de villégiature réputé au tournant du 20e siècle.
Le Vieux Saint-Patrice
Englobant la portion ouest de la rue Fraser, le Vieux Saint-Patrice est un site historique prestigieux, qui comprend une cinquantaine de résidences d’été construites durant la grande époque de la villégiature anglophone du 19e siècle. De nombreuses personnalités politiques de cette époque, dont le premier ministre John A. Macdonald, y ont séjourné.
Deux panneaux d’interprétation lèvent le voile sur les secrets de ces somptueuses demeures d’autrefois.
Imprimez les tables de lecture ou rendez-vous aux deux entrées du secteur, où vous trouverez des panneaux d’interprétation et pourrez admirer de près ces résidences qui n’ont rien perdu de leur charme.
Géorallye du Vieux Rivière-du-Loup
Cette chasse au trésor 2.0 vous amènera dans la face cachée du Vieux Rivière-du-Loup de manière divertissante. Équipé d’un géonavigateur (GPS), vous devrez relever, en famille ou entre amis, des défis d’observation qui vous feront découvrir les premiers quartiers d’un œil nouveau. Des caches réelles en forme de fausses roches aux caches virtuelles, il y aura sur le parcours du plaisir assuré pour tous.
L’appareil de géolocalisation peut être emprunté gratuitement auprès de Tourisme Rivière-du-Loup. Le formulaire de jeu est offert en version papier ou numérique. Rendez-vous au coin des rues Saint-Pierre et du boulevard de l'Hôtel-de-Ville.
Prévoyez une heure et demie de découverte !
Un voyage dans le temps
Partez avec votre téléphone cellulaire ou votre tablette et découvrez l’évolution du paysage urbain de Rivière-du-Loup. Au fil des principaux sites d’intérêt, vous pourrez voyager dans le temps et voir à quoi la ville ressemblait il y a plus d’un siècle.
Dix stations d’observation vous offrent d'assister à la transformation du décor en juxtaposant des photographies anciennes à la réalité actuelle, avec le même angle que le photographe de l’époque.
Le circuit vous mènera du Vieux Rivière-du-Loup jusqu’à l’ancien quartier de la gare, en passant par les rues du Domaine, Iberville, de la Cour, Lafontaine et Amyot.
Téléchargez d’abord le circuit en format PDF sur votre téléphone intelligent ou votre tablette.
Rendez-vous ensuite vers les sites indiqués sur la carte et suivez le parcours.
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Application touristique utile
Ondago
Afin de faciliter vos déplacements, Tourisme Rivière-du-Loup propose deux cartes à consulter sur l’application Ondago.
La première offre une vue globale sur le grand Rivière-du-Loup, tandis que l’autre concentre son intérêt sur le centre-ville.
Les cartes des sentiers et activités du parc des Chutes, du parc du Campus-et-de-la-Cité et du parc de la Pointe s'y retrouvent également.
De création québécoise, Ondago est une application de cartes interactives et intuitives qui permet à l’utilisateur de se situer dans son environnement grâce à la géolocalisation.
Une façon simple d’apprivoiser la ville, sans perdre le nord !
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